Attente De Dieu – La maladie, la souffrance et la mort

Géronda Aimilianos, profondément convaincu que le juste «est passé de la mort à la vie» (Jn 5,24), invitait toujours ses auditeurs à affronter la maladie et la mort en tant qu’enfants de Dieu. Il considérait que la présence de la douleur est si naturelle dans la vie du fidèle qu’il disait que «Il y a une probabilité que nous restions privés de la souffrance et exempts des coups d’une maladie dans le seul cas où Dieu nous oublie, ou si nous même nous oublions Dieu.»

Ses catéchèses et ses homélies concernant la maladie et la mort s’adressaient soit aux moines du Saint Monastère de Simonos Pétra, soit aux moniales du Saint Monastère de l’Annonciation à Ormylia, soit aux fidèles demeurant dans le monde, au cours des années 1975-1990.

«La plupart de nous, désirons que le Seigneur nous accorde une bonne santé. Pourtant ce qui est juste est de souhaiter qu’il nous donne ce qui Lui veut, non selon notre cœur de chair mais selon Sa volonté divine. »

Géronda embrasse la faiblesse humaine, console, enthousiasme et fortifie. Que sa parole accorde à chaque lecteur la compréhension de la mesure humaine et qu’elle devienne le commencement pour une attitude juste face à la maladie et la mort.